Les Alentours - Les Gîtes du Jardin Clos

La Côte d'Albâtre

Bordant le Pays de Caux, la Côte d’Albâtre s’étend sur 130 kilomètres. Ce sont de magnifiques falaises blanches, bordées de plages de galets, que les promeneurs pourront admirer entre Le Tréport et le cap de la Hève. Vertigineuses, les falaises crayeuses de la Côte d’Albâtre atteignent, à certains endroits, une hauteur de 120 mètres ! Le sentier de grande randonnée, longeant les falaises abruptes et offrant des points de vue exceptionnels, a de quoi émerveiller les passionnés de marche. Plusieurs étapes incontournables, comme Étretat, Fécamp ou encore Dieppe, jalonnent cette côte magnifique.

Les stations balnéaires de Seine-Maritime

Le littoral de Seine-Maritime est ponctué de stations balnéaires agréables comme Le Tréport, Dieppe, Varengeville-sur-Mer, Saint-Valery-en-Caux, Saint-Aubin-sur-Mer, Veulettes-sur-Mer, Étretat et Sainte-Adresse. Situés sur la Côte d’Albâtre, ces sites balnéaires propices à la détente bénéficient d’un environnement naturel exceptionnel.

Dieppe

Doyenne des stations balnéaires françaises, Dieppe est aussi une ville d’Art et d’Histoire qui dispose de nombreux atouts. Ses falaises, sa plage, sa vieille ville et son port de pêche et de plaisance en font une destination très appréciée des visiteurs. Dominant la plage de galets, le château-musée abrite une collection d’ivoires ainsi qu’une exposition sur l’histoire maritime de la ville.

Fécamp

Ville d’Art et d’Histoire, Fécamp propose aux visiteurs de découvrir l’abbatiale de la Trinité, et le Palais Bénédictine, édifice abritant la distillerie de la liqueur Bénédictine ainsi qu’un musée dédié à l’art. Très photogénique, le port de Fécamp est également fort agréable, avec ses charmantes estacades invitant à la flânerie. Le musée des Terre-Neuvas et de la Pêche expose le passé maritime du port.

Les abbayes de la vallée de la Seine

es méandres de la Seine, romantiques à souhait, sont bordés de trésors architecturaux. Les abbayes de Jumièges, de Saint-Wandrille et de Saint-Martin-de-Boscherville sont incontournables. Sites phares de la route historique des Abbayes Normandes, ces lieux enchanteront les passionnés d’art religieux.
Une très belle église de style gothique flamboyant est à découvrir à Caudebec-en-Caux.

Veules-les-Roses

Son histoire : la fondation du bourg de Veules date de la fin du IIIe siècle. Le village s’étend le long de son cours d’eau : la Veules (le plus petit fleuve de France : 1194,35 mètres) et sur les hauteurs de la falaise. Au cours des siècles, Veules connut la prospérité (petit port de pêche florissant au Moyen Âge, bourg de tisserands au XVIIIe et début du XIXe siècle) mais aussi bien des épreuves : invasions, incendies, ouragans, famine… mais ses habitants y firent toujours face très courageusement. Au XIXe siècle, grâce à la mode des bains de mer, Veules devient une des stations balnéaires les plus fréquentées du littoral cauchois. En effet, c’est en 1826 qu’Anaïs Aubert (sociétaire de la comédie française) victime d’un chagrin d’amour, quitte paris en criant à son postillon : « allez toujours droit devant vous, vers l’ouest, au hasard, jusqu’à la mer ! ». Après deux ou trois relais, elle s’arrête le lendemain devant la mer, au pays de Caux. Elle restera à Veules en Caux quelques jours, quelques semaines… de retour à Paris, elle fera l’éloge du village à ses nombreux amis. C’est ainsi que toute une pléiade d’artistes contribua à la prospérité du bourg (cf. ses célébrités). En 1881 « le tout Paris » artistique de l’époque se retrouve sur la terrasse du casino et aux bains chauds. De grands hôtels ainsi que de belles villas sont construits, l’affluence des visiteurs fait renaître l’artisanat et le commerce. Cette période florissante va durer jusqu’en 1940. A cette date, les troupes françaises et anglaises sont encerclées par l’armée allemande. Le 12 juin 1940, Veules est le théâtre d’une violente bataille et va subir l’occupation allemande jusqu’en 1944. Le front de mer est en partie détruit, et les villas saccagées.